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12 octobre 2017 4 12 /10 /octobre /2017 16:46

 

L’Amour est entré dans ma vie
Sans dire bonjour comme un amour
L’Amour est entré dans ma vie
Ses lèvres douces, m’ont dit toujours.

L’Amour est entré dans ma vie
Et dans mon cœur et dans mon âme
L’Amour est entré dans ma vie
Et dans mon âme, je le proclame

L’Amour est entré dans ma vie
Comme un filou, comme un voleur
L’Amour est entré dans ma vie
Une effraction pleine de bonheur

L’Amour est entré dans ma vie
Douceur d’été, chaleur d’hiver
L’Amour est entré dans ma vie
Les champs ont la couleur des verts.

L’Amour est entré dans ma vie
Comme un archange criant au ciel
L’Amour est entré dans ma vie
En me donnant son matriciel.

L’amour est parti de mon nid
Sans dire un mot, sans un sourire
L’amour est parti de mon nid
Laissant ma vie, qui va pourrir …

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17 août 2016 3 17 /08 /août /2016 19:09

Je rêve de vos charmes comme on rêve d’une étoile

Comme on rêve la nuit, que le ciel est sans voile

Lorsque la solitude vous met le feu au corps

Que vos sens sont tourments et veulent l’amour encore.

Je vous veux sur ma couche comme vous vîntes au monde

Les yeux rêvant déjà de cette joie profonde

Que laisse une main d’homme, sur votre peau de soie.

Sur vos pieds, sur vos seins, vos lèvres que je bois.

Vos aréoles rosées au tendre dessiné

Retiennent en elles encore ce qu’à moi destinés

Le turgescent téton, le mamelon gouteux

Qui provoque à l’instant la joie du nerf honteux.

Excité de vos charmes, le sexe en érection

Je cède à mes envies, à toutes mes pulsions

Retrouver vos odeurs, votre féminité

Votre transpiration et votre intimité.

Sentir que votre bouche m’avale avidement

Votre langue durcie, me câline goulument

Vos doigts en doigts de fée massent mes testicules

Et s’égarent à connaître les précieuses ridicules.

Votre vulve éclatée, somptueuse orchidée

Livre votre eau divine que je veux posséder,

Boire jusqu’à satiété lubrifier votre anus

Pour enfin vous combler, la loi de mon phallus.

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14 août 2016 7 14 /08 /août /2016 11:49

Je rêve de vos charmes comme on rêve d’une étoile

Comme on rêve la nuit, que le ciel est sans voile

Lorsque la solitude vous met le feu au corps

Que vos sens sont tourments et veulent l’amour encore.

Je vous veux sur ma couche comme vous vîntes au monde

Les yeux rêvant déjà de cette joie profonde

Que laisse une main d’homme, sur votre peau de soie.

Sur vos pieds, sur vos seins, vos lèvres que je bois.

Vos aréoles rosées au tendre dessiné

Retiennent en elles encore ce qu’à moi destinés

Le turgescent téton, le mamelon gouteux

Qui provoque à l’instant la joie du nerf honteux.

Excité de vos charmes, le sexe en érection

Je cède à mes envies, à toutes mes pulsions

Retrouver vos odeurs, votre féminité

Votre transpiration et votre intimité.

Sentir que votre bouche m’avale avidement

Votre langue durcie, me câline goulument

Vos doigts en doigts de fée massent mes testicules

Et s’égarent à connaître les précieuses ridicules.

Votre vulve éclatée, somptueuse orchidée

Livre votre eau divine que je veux posséder,

Boire jusqu’à satiété lubrifier votre anus

Pour enfin vous combler, la loi de mon phallus.

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14 août 2016 7 14 /08 /août /2016 11:42

Je rêve vous inviter par un beau jour de grâce

Pour un temps de plaisir, ce plaisir qui délasse

Dans cette maison douce, faite pour le bonheur

Celui de retrouver la joie de vos saveurs.

Vous faire couler un bain aux parfums très subtils

Qui donnent sur le corps des sensations tactiles.

Avec des essentielles venues de lieux perdus

Qui redonnent la vie à des membres perclus.

Passant sur vos épaules cette jouvence là

Mes mains aimant vos seins, les massant d’entrelacs

Parcourant votre dos, câlinant jusqu’aux reins

Pour que durcissent enfin les mamelons des seins.

Votre mont de Vénus s’offrant à mes caresses

Ajoute à l’eau du bain celle de votre ivresse.

Renversant votre dos pour que s’ouvre la grotte

Celle de ces plaisirs que sans eux on sanglote.

Découvrant ce pistil qui orne votre fleur

Dont la vue et le goût sont de tendre bonheur

Ma langue le câline, le met en érection

Lui apportant la preuve de toute mon émotion.

Mes doigts forts impatients et d’huile apprêtés

Câlinent gentiment ce bijou excité.

Et vous avez, Madame, pour mon plaisir immense

Ejaculé en moi les joies de tous vos sens.

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25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 16:08

Je rêve vous inviter par un beau jour de grâce

Pour un temps de plaisir, ce plaisir qui délasse

Dans cette maison douce, faite pour le bonheur

Celui de retrouver la joie de vos saveurs.

Vous faire couler un bain aux parfums très subtils

Qui donnent sur le corps des sensations tactiles.

Avec des essentielles venues de lieux perdus

Qui redonnent la vie à des membres perclus.

Passant sur vos épaules cette jouvence là

Mes mains aimant vos seins, les massant d’entrelacs

Parcourant votre dos, câlinant jusqu’aux reins

Pour que durcissent enfin les mamelons des seins.

Votre mont de Vénus s’offrant à mes caresses

Ajoute à l’eau du bain celle de votre ivresse.

Renversant votre dos pour que s’ouvre la grotte

Celle de ces plaisirs que sans eux on sanglote.

Découvrant ce pistil qui orne votre fleur

Dont la vue et le goût sont de tendre bonheur

Ma langue le câline, le met en érection

Lui apportant la preuve de toute mon émotion.

Mes doigts forts impatients et d’huile apprêtés

Câlinent gentiment ce bijou excité.

Et vous avez, Madame, pour mon plaisir immense

Ejaculé en moi les joies de tous vos sens.

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1 juillet 2016 5 01 /07 /juillet /2016 16:37

La raison m’a quitté, nous n’étions plus amis

La neige a recouvert les labours et semis.

Les nuages de tempête effacent l’horizon

L’âtre n’a plus de feu, le froid en la maison.

La vieillesse s’installe dans les volets fermés

La poussière envahit cet endroit mal aimé

Où passe une soignante, un bol de soupe fumante

Pour un vieillard sénile blotti dans une mante.

Son corps est vermoulu et ses membres perclus

Les douleurs qui le percent font de lui un exclu,

Sa tête qui se souvient ressasse les revues

D’une vie bien trop dure, d’éclaires tombant des nues.

Les courses dans les bois, une vie de sauvage,

Les corps nus au soleil, étalés au rivage.

Tout la haut dans le ciel les avions aux combats

Ces morts assassinés pourrissant ici-bas.

Les assauts meurtriers de djebels en mechtas

Et ces corps mutilés que dévorent des chats.

Sous un saule pleureur des yeux de pur amour

Qui transforment un baiser en serment de toujours.

Et puis un jour la haine, cette haine putride

Pour des amours brisées, une haine morbide

La mort, la mort donnée qui mène à la prison

Une vie en enfer pour crime avec raison.

Chaque nuit, chaque jour les mêmes rêves hideux

Ravagent son sommeil, rêves cauchemardeux.

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1 juillet 2016 5 01 /07 /juillet /2016 16:33

« Le sommeil m’a quitté, j’avais les yeux ouverts »

« Mes pensées étaient folles, tout semblait de travers »

« Cependant j’étais là inquiète et détendue »

« En travers de mon lit, de mon long étendue. »

« En moi une émotion, comme une joie profonde »

« Me montrait mille amours dans une folle ronde »

« Je me sentais heureuse, heureuse d’un bonheur »

« Qui créait mon extase, me donnait sa chaleur ».

« Et puis j’ai tout compris dans un élan puissant, »

« Merveilleux, délirant et pourtant angoissant »

« Un bébé est en moi, je vais être Maman. »

« Tu es là en mon ventre, une joie de dément. »

« Amour de mes Amours notre Amour est fécond »

« Tu vas être Papa car mon ventre en cocon »

« Abrite et fait grandir le fruit de la passion »

« Et nous allons tous deux vivre cette émotion. »

J’ai reçu ses paroles, tous ces mots qu’elle m’a dit

Qui trottent en mon crane et me laisse interdit.

Ceux qui ont disparu, que la haine m’ a volé

Vont ils encore mourir devant ce nouveau né ?

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14 octobre 2014 2 14 /10 /octobre /2014 16:10

Je suis un vieux bonhomme et son cœur en déroute

Qui veut malgré son âge continuer sa route.

Au bord d’une chapelle a toqué à la porte

« Je cherche un peu d’Amour » « que le diable t’emporte « .

Suis entré dans un lieu qui se disait un temple

« L’Amour ici, Monsieur, l’amour on le contemple ».

Ne cherchez plus la femme, laissez donc cet amour

Oubliez ce bonheur, oubliez pour toujours.

Le Dieu qui nous créa est un Dieu fort jaloux

Si vous prenez ses femmes vous trouvera des poux

J’ai repris ma besace, j’ai repris mon bâton

Et laissé derrière moi l’église et ses festons.

Ne retrouverai plus toutes mes Amours d’antan

Passions échevelées, courses au vent d’autan.

Ces rêves de fusion tout aux bords des fontaines

Où vous laissiez pour moi votre robe de laine.

Je suis un vieux bâteau, poussif et ferraillant

Qui trace encore sa route sur des flots bouillonnants

Que la vie a pourri, qui sur le flot se gâte,

Et qui ne peut lutter face aux jeunes frégates.

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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 17:25

Le vent a emporté un reste de mémoire

La pluie n’ efface pas ton nom sur le grimoire.

Du temps de nos amours, du temps de la jeunesse

Sur ce registre noir, gravé notre promesse.

J’avais ta main en moi, j’étais ton prisonnier

Marchant à tes côtés, féal caravanier

Balbutiant nos amours, rêvant sous les étoiles

Les instants merveilleux, toutes ces nuits sans voile.

Je fouille en ma mémoire, cette mémoire rebelle

Qui garde bien vivante les choses les moins belles.

Mais se souvient toujours de l’amour de tes yeux

Et refuse à jamais que tu me dises adieux.

Mes mains ont laissé fuir les joyeux lendemains

Des restes de bonheur, un simple amour humain

Je veux malgré cela rester ta connivence

Respirer ton parfum, ton haleine de jouvence.

Le grimoire est fermé, l’amour a disparu

Une auto qui s’en va qui tourne dans la rue

Les feux se sont éteints, n’en reste que des cendres

La tombe est grande ouverte et me prie d’y descendre.

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21 juin 2014 6 21 /06 /juin /2014 12:29

Vous êtes là Madame, aux confins de ma vie

Votre esprit, votre charme ce dont je suis ravi

Vous serez trop pour moi, vous serai une charge

Que laissera le temps de l’ultime fauchage.

Le jour est merveilleux, le soleil dans l’azur

Font baigner dans la paix l’ombre d’une masure

Les oisillons sont nés, les petits élevés

La vie pleine de beauté, les estomacs gavés.

Les amours de l’été, amours pleines de gaîté

Qui durent un jour ou deux, jamais l’éternité,

Les corps qui s’abandonnent, les corps qui s’encanaillent

L’été est fait pour ça, c’est le temps des ripailles.

Le vieillard ingénu sur le pas de sa porte

Regarde s’en aller, l’amour qui le transporte.

D’abandons en départs et d’oublis en silences

Le temps des au revoir lui est un fer de lance.

Quand du soleil la mer en a fait la capture

La fin de la journée annonce la rupture.

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  • : Le blog de Jean Margelin
  • : Vous trouverez en différents poèmes l'évolution douloureuse de l'Amour que j'ai pour Noëlle.
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