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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 18:43

J'ai besoin de te dire, de te dire que je t'aime,

J'ai besoin de te dire en prose ou en poème

L'amour que j'ai de toi est bien plus que ma vie

La vie pour t'adorer est la vie que j'envie.

 

J’ai besoin de te dire en mots ivres d'amour

L'amour que j'ai pour toi résonne comme un tambour.

Il éclate au soleil il efface la nuit

La nuit est sans raison dans mon amour qui luit.

 

Le temps frappe à ma porte mais elle est verrouillée

Verrouillée par l'amour, ne veut être souillé

L'amour que j'ai de toi se suffit à lui-même

Se suffit à lui-même et peut faire carême.

 

L'amour que j'ai pour toi a cela de divin

Qu'il m'enivre bien mieux que ce grand verre de vin

L'amour que j'ai de toi m'ouvre le paradis

Le paradis d'amour et des amours hardies.

 

L'amour dans ton amour est un amour serin

Qui enfle dans mon cœur et enhardit mes reins

L'océan trop petit, ou le volcan sans lave

Sont des jouets d'enfants et les dieux qui en bavent

 

De voir un tel amour qui échappe à leurs lois

Pour t'aimer sans fin il ne me faut que toi.

 

 

 

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4 novembre 2011 5 04 /11 /novembre /2011 16:49

Le ciel est une femme, une femme changeante

Le ciel en variations, variations qui m’enchantent

La couverture grise de ses nuages bas

Qui mange les clochers, des montagnes fait repas.

 

Tout habillé d’azur en camaïeu de bleu

De frêles nuages blancs nageant en queue leu-leu

Balayé, tourbillon, un vent de lavandin

Soleil des merveilles, espaliers en gradins.

 

La femme de mes amours est un ciel de printemps

Un ciel de changement, un ciel de contretemps

Le matin est d’azur et le couchant rougeoie

Et la lune dans ce ciel  excite les abois.

 

La femme de mes amours est un beau ciel d’été

Qui réchauffe mon âme, en fait un dorloté

La femme de mes amours a le feu du soleil

Qui me remplit d’émoi, m’emplit de sa merveille.

 

La femme de mes amours ne connait pas l’automne

La rougeur de ses fleurs, la nature qui s’étonne

La femme de mes amours est un ciel de tendresse

Qui enchante mon cœur et l’emplit d’allégresse.

 

La femme de mes amours ne connait pas l’hiver

Son cœur est bien au chaud au milieu de mes vers.

 

 

 

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 11:19

Je rêve de rêver le rêve que tu rêves

Etre dans tes pensées et l’amour qui se lève.

Je rêve être ton rêve, habiter ton esprit

Vivre ta propre vie, de toi je suis épris.

 

Rêver au ciel d’été, ou au froid de l’hiver

Rêver dans les halliers comme en des lieux divers

Fusionner nos haleines pour posséder le monde

Oublieux de la terre, les turpitudes immondes.

 

Faire ensemble le rêve, enfants que nous n’aurons

Rêver de la fortune, une ile où nous irons

L’Espagne et ses châteaux, l’Irlande et ses génies.

Rêver pour plus d’amour un rêve qui nous unit.

 

Rêver dans l’absolu l’éternité d’amour

Rêver que nous sommes là amoureux pour toujours

Nos pensées confondues rejoignent l’absolu

Les affres de la vie dans le rêve se diluent.

 

La chimie de l’amour opère son miracle

Pour fusionner les corps et répondre à l’oracle.

Fondu en un seul moule, je suis toi, tu es moi

Nos âmes et nos corps n’ont plus qu’un seul émoi.

 

 

 

 

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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 14:39

Quand je rêve de toi quand je rêve de l’amour

Quand s’embrasent les flammes d’un amour éperdu

Que je suis triomphant, allègre troubadour

Que je rêve à tes yeux, tes yeux qui m’ont perdu.

 

Alors s’envole l’âme au delà des étoiles

Plus loin que les nuages dans un vide sans fin

Notre amour qui est tout pour le ciel est un voile

Eclipsant le soleil, relégué aux confins.

 

Quand je pense à tes yeux et qu’à tes yeux je pense

Que je rêve de toi  et que tu es mon rêve

L’amour me prend la main et dans un bond immense

M’envoie dans les délices sur le bord de tes lèvres.

 

Sur un piano cassé dont je ne sais les notes

Je me crée des chansons qui vantent ta beauté,

Sur les touches blanches ou noires de ton dos je pianote

Ces airs qui sont pour toi et qui doivent t’enchanter.

 

Et je pense au malheur de ceux qui n’ont plus rien

Plus un rêve à rêver une femme à aimer

Qui sont seul en ce monde, enchainés galériens

A un amour perdu qu’ils ne peuvent sublimer.

 

Laisses moi te chanter bel amour de ma vie

Nous sommes l’un à l’autre et cela me ravit.

 

 

 

 

 

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20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 15:16

Auprès de quelle source, te caches-tu ma Muse ?

Prés de quelle fontaine où des oiseaux s’amusent ?

Sous un pin parasol ou un saule pleureur

Dans quelle vallée bleue où se cache le bonheur ?

 

Je te cherche toujours quand tu es loin de moi

Mon âme tout entière aspire à ton émoi

Te serrer en mes bras, te faire perdre l’haleine

Mettre au chaud nos deux corps, la couverture de laine.

 

Dans un pré se rouler, écraser les fenouilles

Contre-chant de baisers à celui des grenouilles,

Parcourir de mes doigts la courbe de ton nez

Découvrir qui tu es et toujours étonné.

 

Dans la forêt qui chante à la fin de l’été

Te voir sous le hallier comme un rêve enchanté

Esquisse en robe blanche, évanescence exquise

Qui transforme mon âme en une terre conquise.

 

L’amour que j’ai de toi ne se raconte pas

L’amour que j’ai de toi ne se reniera pas.

 

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 14:56

Un soleil qui se lève sur des montagnes blanches

Un oiseau qui sautille et va de branche en branche

L’extase d’un enfant savourant sa tétée

L’amour toujours présent bien qu’ils soient retraités.

 

L’amour nous conduit tous au delà de la nuit

Vers le phare généreux d’une étoile qui luit.

 

Aux matins de rosée à la lune dormante

Au souffle de plaisir du sein de mon amante

Cette fleure qui s’ouvre pour sa fécondation

Ces parfums de bonheur qui sont adulation.

 

L’amour nous conduit tous au-delà de la nuit

Vers le phare généreux d’une étoile qui luit.

 

La femme écartelée au fruit de son amour

Cet enfant nouveau-né ravissant l’alentour

Cette cascade d’eau ce saumon qui frétille

Une croupe ravie du passage de l’étrille.

 

L’amour nous conduit tous au-delà de la nuit

Vers le phare généreux d’une étoile qui luit.

 

La forêt immuable au passage de la harde

Elle vit encore du son  de ces chansons de bardes

Un serpent se faufile pour un œuf de poule d’eau

Elle remercie la pluie ce somptueux cadeau.

 

L’amour nous conduit tous au-delà de la nuit

Vers le phare généreux d’une étoile qui luit.

 

Une voix qui résonne comme un hymne à l’amour

Une voix qui dit tout  et sans doute toujours

Deux mains qui se rapprochent, deux bouches qui s’embrassent

La vie sera plus belle le présent les enlace.

 

L’amour qui nous conduit attaché l’un à l’autre

Cet amour est à nous, cet amour est le nôtre.

 

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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 09:45

C’est une maison jaune avec des volets bleus,

Dans son âtre glacé, l’espoir d’un nouveau feu.

Les volets sont ouverts au soleil de l’été

La vie va revenir, tout comme sa gaité.

 

Le ruisseau glougloutant inonde le gazon

Les vents pleins de fragrances accourent de l’horizon,

La tempête est passée et le soleil éclate

Se couchant triomphant dans un ciel écarlate.

 

Les oiseaux de retour picorent le raisin

Un autour plumes grises rend visite en voisin,

La maison reprend vie, l’amour est de retour

La campagne pour elle a mis ses beaux atours.

 

Une odeur de jambon, de lard, de fromages frais,

Les poules dans l’enclos poussant des cris d’orfraies

Tout la haut dans le ciel, silencieuse lueur

L’avion est une flèche pointée vers le bonheur.

 

Bonjour la vie, l’amour, bonjour les fleurs nouvelles

Bonjour les fruits d’été, bonjour les mirabelles

Sur la route embaumée de son pas assuré

L’amour revient chez nous par l’amour rassuré.

 

 

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 16:32

Ma vie n’était plus rien, qu’un amas de ténèbres

Champs de dévastations, solitudes funèbres.

Les amours et les fêtes, ne veulent plus rien dire

La vie qui continue, ne peux que la maudire.

 

Le pain n’a plus de goût, le vin n’a plus d’odeur

Ma porte reste ouverte, ouverte aux maraudeurs

L’herbe folle envahit  la pelouse roussie

Un souvenir vivace pour un temps m’adoucit.

 

Solitude infernale, solitude de toujours

Draps qui restent glacés, du soir au petit jour

Foule d’indifférence, manteau de solitude

Qui habille mon âme, en fait son habitude.

 

Les jours passent en glissant, girandoles d’étoiles

La lune est trop blafarde par l’oubli qui dévoile

La nudité absurde, d’une vie sans objet

La douleur lancinante, de n’être qu’un rejet.

 

Et puis c’est un bonheur, la vie devient heureuse

Finie la tragédie, et les soirées pleureuses

Bonjour le grand ciel bleu, bonjour le soleil d’or

Pour vivre son amour, plus jamais je ne dors.

 

Elle est sortie de l’ombre, elle est venue vers moi

Je cultive ce rêve, en berçant son émoi.

 

 

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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 12:10

Un jour je le saurai, si tu es bienheureuse

Si la vie a pour toi, des allures chaleureuses,

Je saurai si enfin, tu trouves le bonheur

Si tu connais l’amour, avec toute sa chaleur.

 

Le ciel en sa splendeur, éclaire ton chemin

La peur a disparue, d’incertains lendemains.

Le soleil des amours, comme celui des affaires

Embellit tes journées, te donne trop a faire.

 

Je rêve que pour toi, pendant ce bel été,

La plage et le beau temps, purent tout t’apporter.

Qu’enfin tu puisses avoir toute la paix du monde

Quand le vent eut chassé tous les démons immondes.

 

J’entretiens en mon cœur un espoir dérisoire

Qui me blesse l’amour coupant comme un rasoir

Je demande aux étoiles aux oracles divines

De pouvoir être heureux, la douceur angevine.

 

Avoir un simple mot qui même soit méchant

De ces mots de dégout qui se disent en crachant

Ces mots définitifs qui vous tuent raide mort

Qu’elle dira excédée mais avec des remords.

 

Alors un mot de toi, dénué de tendresse

Apportera la joie, vaudra toutes les caresses.

Je quitterai ce monde certains que mes amours

A ma disparition s’en iront pour toujours.

 

En enfers, dans les limbes ou au jardin d’Eden

L’amour que j’ai pour elle chantera sa rengaine.

 

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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 15:51

Tu dors, sur l’oreiller l’étal de tes cheveux

Est couronne de rêves comme un début d’aveu,

Tu dors avec la grâce et la sérénité

De ce bébé joufflu heureux de sa tétée.

 

Tu dors le souffle calme, léger comme une plume,

Qui soulève ton sein comme l’est la haut la lune.

Tu dors et tes lèvres laissent naitre une bulle

Et cette notion de rêve  rend mon rêve incrédule.

 

Tu dors, le drap de lin dénude gentiment

Les fossettes de tes reins à mes yeux de gourmand

Tu dors comme indécente dans ton rêve d’amante

Bras et jambes alanguis, abandon de dormante.

 

Je regarde incrédule ta présence merveilleuse

Les reflets sur ton corps la flamme de la veilleuse

Le temps qui va passant donnera l’heure fatale

Qui sonnera cette heure, la fin de cette escale.

 

Tu dors comme innocente ne connaissant le mal

Celui que tu sais faire me traitant d’animal

Tu dors après m’avoir renvoyé à ma niche

Jouet de tes caprices, pauvre petit caniche.

 

Tu dors et je t’adore et je vai te quitter

Pas pour une autre femme mais pour l’éternité

Tu dors et à mon tour vaincre cette douleur

Offrir mon âme à dieu, cette âme sans valeur.

 

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  • : Le blog de Jean Margelin
  • : Vous trouverez en différents poèmes l'évolution douloureuse de l'Amour que j'ai pour Noëlle.
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